Intervention Nurosym dans la fibrillation auriculaire : de la résistance au soulagement
"La collaboration de Nurosym avec les exercices de respiration a amélioré ma qualité de vie de façon spectaculaire, et cela sans les effets secondaires des médicaments lourds et coûteux." – Gunter
L’histoire complète de Gunter
Je m’appelle Gunter et je viens de Düsseldorf, en Allemagne. Je souffre de fibrillation auriculaire paroxystique depuis 15 ans.
Les symptômes apparaissaient et disparaissaient, durant parfois seulement 5 minutes, parfois plusieurs jours (4 à 5).
Avec les bloqueurs des canaux calciques Oryx, j’ai pu contrôler l’arythmie jusqu’au début de 2022. Puis, la fibrillation est devenue quasiment persistante.
C’est pourquoi mon cardiologue m’a conseillé de subir une ablation cardiaque, réalisée en mai 2022.
Après l’ablation, les choses se sont améliorées pendant trois à quatre mois, puis la fibrillation est revenue.
Au lieu de revenir aux médicaments, mon cardiologue m’a suggéré un entraînement pulmonaire (plus ou moins des exercices de respiration), associé à des exercices du plancher pelvien et à l’utilisation quotidienne de Nurosym.
J’ai commencé à utiliser le Nurosym pendant 60 minutes, à un niveau de 20–22, en augmentant progressivement à 25.
On ressent un léger picotement à l’oreille, loin d’être inconfortable.
Pendant les trois premières semaines, aucun changement dans mes symptômes : l’utilisation de Nurosym n’avait pour moi aucun sens.
Mais après ces trois semaines, les choses se sont améliorées de plus en plus. Les épisodes de fibrillation sont devenus plus courts, avec un nombre croissant de jours sans aucun symptôme.
Après plus d’un an et demi d’utilisation, les épisodes de fibrillation auriculaire ne sont plus fréquents.
Ils surviennent, au maximum, deux à trois fois par mois, surtout lorsque je suis très nerveux.
Mon Apple Watch, qui suit mon rythme cardiaque, affiche dans son rapport hebdomadaire un taux de fibrillation de 2 % ou moins.
Je pense que c’est la plus basse classification possible affichée par la montre. En plus de l’aide contre la fibrillation, j’ai découvert que Nurosym m’aidait aussi contre l’insomnie.
Avant, je me réveillais souvent à une heure du matin sans pouvoir me rendormir pendant deux ou trois heures.
J’ai commencé à utiliser Nurosym dès mon réveil nocturne et, surprise, je retrouvais le sommeil en 10 à 15 minutes.
Parfois même immédiatement, dès les premiers picotements à l’oreille. Comme j’utilisais Nurosym régulièrement, il n’y avait pas besoin de période d’adaptation.
Pour moi, l’association de Nurosym et des exercices de respiration a transformé ma qualité de vie, et ce, sans les effets secondaires des médicaments lourds et coûteux.